Née à Varsovie (Pologne), traumatisée par les persécutions antisémites nazies subies par sa famille juive, Joanna Flatau est une artiste peintre figurative, graphiste installée à Paris depuis 1971. Le 21 juillet 2020, France 3 rediffusera "Le Formulaire", documentaire de Filip Flatau, fils de cette artiste, sur un double secret familial. Une quête identitaire.
Publié par Véronique Chemla
Joanna Flatau est née à Varsovie dans une famille juive polonaise.
Adolescente, elle se destine à devenir réalisatrice. « Vous avez 17 ans. Il faut vivre pour être metteur en scène. Suivez d’autres études, par exemple l’histoire de l’art », lui conseille le directeur de l’École de cinéma de Lodz.
Joanna Flatau accompagne son père chez un ami peintre qui lui demande, pour déterminer si elle a du talent, de dessiner une bouilloire. Elle réussit ce test. Elle s’oriente donc vers le dessin. Elle entre dans l’atelier de Henryk Tomaszewski, affichiste renommé plein d’humour, et suit des cours de peinture.
Diplômée d’histoire de l’art de l’Université et de l’Académie des Beaux-Arts de Varsovie en 1969, elle commence une carrière de graphiste.
En 1971, elle rejoint à Paris sa grand-tante, une des premières étudiantes en physique, une chercheur auprès de Marie Curie, et son époux, professeur de physique à la Sorbonne.
Elle travaille comme graphiste pour des livres, affiches de cinéma, etc.
13 décembre 1981, le général Jaruzelski proclame l'état de guerre en Pologne. Joanna Flatau participe à une exposition de solidarité avec ses compatriotes intitulée « Banque d’images pour la Pologne ». Elle peint des pastels dont elle aime le contact, le côté tendre de la matière, la subtilité des coloris et l’immédiatement du travail. Cette première expérience picturale marque le tournant artistique de sa vie.
Si elle rêve d’abstraction – « En Pologne, l’abstraction était interdite », se souvient-elle -, elle demeure figurative. Elle évolue vers des acryliques mais songe à retourner vers des pastels.
Se succèdent des séries sombres – pastels sur fond noir avec nuances de beige – dont « L’Avenir », un pastel montrant un couple de personnes âgées se serrant l’un contre l’autre, est sélectionné au Musée d’art moderne, les œuvres inspirées de ses lectures des textes de « Freud ».
Puis, ce sont des « Portraits imaginaires », « Les gens d’ici », noirs sur des fonds beiges, jeu entre l’ombre et la lumière, « L’Opéra ».
Joanna Flatau alterne le noir – « la plus belle des couleurs. On peut voir toutes les couleurs dans le noir » - et les couleurs, « Apparitions », puis des encres (sépia, brun), brut de noir.
Elle expose en Pologne, Grande-Bretagne, France et Suisse. Ses œuvres font partie de la collection du Fonds National d’Art Contemporain, de la Collection Cérès Franco et de plusieurs collections privées.
En 2003, c’est sa deuxième exposition individuelle intitulée Entre Noir et blanc 2 dans la galerie Idée d’artistes du Marais (Paris), après celle intitulée « Tombées des nues » (automne 2002) où elle y avait montré d’étranges femmes nues.
« Joanna Flatau ne cesse de chercher la face cachée des choses qu’elle donne à voir au travers de sa création. C’est avec le papier pelure d’ognons, l’aquarelle et quelques rehauts de pastels gras que l’artiste commence en 2001 une série intitulée « Tombée des nues » dont l’unique sujet est la face et le torse nu de la femme. Une autre série, « Apparitions », réalisée avec une palette de couleurs plus restreinte - bruns, ocres, beiges - met en scène des anges. Androgynes comme il se doit, à quelques exceptions près (certains sont représentés avec des seins), ces personnages, qui ont marqué si fortement l’histoire de l’art, réapparaissent ici sous une allure insoupçonnée. Avec leurs yeux en forme d’amande, certains d’entre eux rappellent les icônes de l’art byzantin tout en gardant leur singularité. Femmes et anges étaient réunis à la galerie Idées d’artistes donnant à voir une expression picturale inouïe », a écrit Jacqueline Roche-Mérédith.
Autres créations de Joanna Flatau : des papiers de sa série « Les Apparitions » (2002-2003).
Le style de cette artiste est suggestif, figuratif, fin, léger, et allie collages de pages de livres, dessins à l’encre de Chine, et juxtapositions de couleurs chaudes : rouille, marrons, etc.
Les thèmes de certaines œuvres ? Solitude, misère d’êtres, « petites joies ».
Un art évoquant un expressionnisme sombre, tragique.
« Ce qui m’intéresse le plus dans le corps, c’est l’esprit »
« Ce qui m’intéresse le plus dans le corps, c’est l’esprit. Cela ne m’intéresse pas de faire des portraits en soi. Je cherche à montrer la vie intérieure de mes personnages. Ma seule ambition, c’est de transmettre de l’émotion », a expliqué l’artiste.
En 2004, Joanna Flatau a ouvert la Saison polonaise en France (« Nowa Polska ») à la galerie Idées d’artistes avec l’exposition « Tête-à-tête », soit une vingtaine de techniques mixtes.
« Depuis bien longtemps Joanna Flatau n’en fait qu’à sa tête. Elle nous revient avec une nouvelle série de têtes, des belles, des moches, des vieilles, des mortes, des rupestres, parfois langoureuses, parfois amoureuses, souvent tendres. Mais, dans leurs têtes toutes ces têtes grincent. Pourquoi ? On pourrait les croire sociables toutes ces têtes ? Mais vite leur image se brouille et il ne reste que l’envers de la tête. Tête-à-tête immobile, impossible, la conversation s’étiole… Où Joanna Flatau va-t-elle donc chercher toutes ces têtes ? Dans sa tête justement, dans sa petite tête agile, perspicace, qui décide de pénétrer dans la tête des autres et qui parfois s’y retrouve ou s’y égare. Mais qu’importe, toutes ces têtes, petites ou grandes, sont là et nous renvoient à nos têtes à nous », précise cette galerie.
Sujets principaux de ces œuvres expressionnistes sombres : des têtes, des portraits de coquettes, des masques, des femmes sexy au regard triste. Joanna Flatau peint avec énergie, directement sur la toile, sans se soucier de rendre délicat son trait. Elle commence avec des œuvres colorées, vives, pures, et affectionne le noir. Les pigments humanisent les acryliques. Tout est mat avec un peu de doré. Elle rend hommage aux femmes de Goya.
Des crânes souriants. La magie égyptienne. Une danse de vie autour de la mort. Une ronde de bêtes autour du crâne sur fond violet. Des coquettes dont la frivolité se révèle par des colifichets, des boucles d’oreilles qui signent aussi leur suffisance. Un clin d’œil de vanité. Des regards pensifs, interrogatifs, soulignés de noir et blanc. Des fonds gris-vert ou violet. Les béliers ? Des symboles de renaissance, de renouvellement de la vie.
En 2012, la Galerie Roi doré a présenté l’exposition éponyme, « États d’âme », de Joanna Flatau. Une œuvre centrée sur les visages d’êtres humains seuls. Une création picturale scrutant la vérité humaine.
Directrice fondatrice de la galerie L’œil de Bœuf-Paris, "femme érudite, dotée d'une forte personnalité », « historienne de l'art, commissaire d'expositions, galeriste, femme érudite, dotée d'une forte personnalité, Cérès Franco a consacré près de 25 ans dans sa galerie L’œil de Bœuf-Paris, à découvrir et à promouvoir des artistes dont les œuvres allaient à l'encontre des tendances de son époque » : Pouget, Rustin Nitkowski, Michel Macréau, Grinberg, Chaïbia, Corneille, Hadad, Kabakov, Komet, Lucebert, Paella Chimicos, Christine Sefolosha, etc. Elle a aussi constitué « une collection audacieuse d'environ 1500 œuvres », présentée pendant plus de vingt ans dans le village de Lagrasse (Aude), et désormais au musée des Beaux-arts de Carcassonne. La dernière section de l'exposition réunit des photos d'ambiance de la collection et quelques portraits de Cérès Franco réalisés par ses amis artistes : Roland Cabot, Danubio, Joanna Flatau, Mao, Roman Cieslewicz, Jean-Louis Bilweis, Jaber, G. G. Netto... Des « portraits qui attestent des liens d'amitié forts et des échanges complices et fructueux de ces passionnés de l'art ».
Le 25 juin 2014, le conseil municipal de Carcassonne récemment élu a informé Dominique Polad-Hardouin, galeriste et fille de Cérès Franco, qu'elle annulait "le Parcours d'art contemporain 2014 consacré aux œuvres du fonds Franco et refusait la donation de 1 500 œuvres d'art brut, naïf et populaire patiemment rassemblées pendant des décennies par la collectionneuse et galeriste brésilienne. Un cadeau évalué à 4 millions d'euros". « Le premier argument a été économique : les finances sont exsangues. Le second est que ces œuvres ne les intéressent pas. Leur projet culturel consiste à mettre en valeur les réserves du musée des Beaux-Arts », a expliqué Dominique Polad-Hardouin.
Réhabilitée en 2008 en centre d’art, l’ancienne coopérative viticole de Montolieu accueille et présente la Collection Cérès Franco. Son but : "présenter de manière permanente le fonds de la collection et organiser des expositions temporaires en résonance avec ce fonds et d’engager un dialogue avec d’autres artistes de la scène internationale. L’ensemble de ses activités s’inscrira aussi dans la dynamique culturelle de Montolieu Village du Livre et en liaison avec la Fabrique des Arts de Carcassonne Agglo. La création de « La Coopérative-Collection Cérès Franco » est le fruit d’une amitié entre Henri Foch, le nouveau propriétaire du lieu, Cérès Franco et sa fille Dominique Polad-Hardouin. Ils se sont regroupés au sein de l’Association pour la Valorisation de la Collection Cérès Franco (AVCCF) qui s’est rapprochée de Carcassonne Agglo pour constituer un partenariat public-privé dans la durée et qui devrait conduire - à terme - à la donation du bâtiment et d’une partie significative de la collection".
L'exposition inaugurale « En Grand Format » permet de découvrir sur près de 1000 m², près de 500 œuvres de 80 artistes, pièces emblématiques de la Collection Cérès Franco. Dans leur grande diversité l’œuvre de tous ces artistes forme un tout. Ils dialoguent et sont témoins d’une époque".
"Le Formulaire"
Le 21 juillet 2020, France 3 rediffusera, dans le cadre de "L'Heure D", "Le Formulaire", documentaire de Filip Flatau, fils de cette artiste, sur un double secret familial : la judéité et la Shoah.
« Persuadé d’être catholique, je voulais être juif. C’est à contrecœur qu’ils durent m’avouer que, juifs, nous l’étions déjà… », confie, en voix off, le réalisateur.
"La mère de Filip Flatau avait un secret : enfant, elle a été sauvée du ghetto de Varsovie et cachée chez des paysans polonais jusqu’à la fin de la guerre. Comme elle a toujours refusé de lui en parler, Filip trouve sur le site de Yad Vashem, l'institut international pour la mémoire de la Shoah, le formulaire permettant d’honorer et de déclarer « Justes parmi les Nations » les sauveteurs de sa mère. C'est au fil de la rédaction de ce formulaire que la langue de sa mère se délie peu à peu. Il propose à celle-ci de le remplir avec elle en faisant le voyage en Pologne".
"Joanna rechigne, ne veut pas donner sa date de naissance, dit qu’elle n’est « pas née », critique son fils. Et menace de tout lâcher. Le point de basculement se produit quand Filip trouve, grâce aux outils de Google, la maison où sa mère avait passé ces années, qu’elle se remémore comme heureuses, après avoir été exfiltrée du ghetto, cachée dans une benne à ordures. Moment extraordinaire, ponctué par les clics de la souris d’ordinateur, et illuminé par le visage bouleversé et heureux de celle qui retrouve alors, intact, le souvenir du lieu. Suit le voyage de retour vers ce hâvre, la visite au cimetière de ceux qui l’avaient choyée comme leur propre enfant, la rencontre d’un fils qui n’était pas né encore alors et les retrouvailles avec une amie plus âgée, aujourd’hui nonagénaire. Tout cela est filmé avec tact, finesse et simplicité, dans un heureux mélange d’émotion terrassante et de drôlerie enlevée", écrit Renaud Machart (Le Monde, 16 juillet 2020).
INTERVIEW DE FILIP FLATAU PAR ALEXANDRA KLINNIK
(Télérama, 15 juillet 2020)
"On ne décide pas du jour au lendemain de faire un documentaire sur sa mère. Quelles ont été vos motivations ?
J’avais déjà tourné un documentaire sur ma mère peintre. À l’époque elle ne voulait rien dire de son passé. C’était un tabou. Personnellement, c’est par la bouche de ma tante que j’ai découvert, à l’âge de 18 ans, l’histoire de son enfance. Or ma mère a un certain âge et il y a une forme d’urgence à ce qu’elle puisse affronter, raconter cette période qu’elle a voulu effacer.
J’avais déjà tourné un documentaire sur ma mère peintre. À l’époque elle ne voulait rien dire de son passé. C’était un tabou. Personnellement, c’est par la bouche de ma tante que j’ai découvert, à l’âge de 18 ans, l’histoire de son enfance. Or ma mère a un certain âge et il y a une forme d’urgence à ce qu’elle puisse affronter, raconter cette période qu’elle a voulu effacer.
Et puis, cela concerne ma propre identité, mon rapport à la judaïté. Enfant, j’ai fréquenté les institutions privées catholiques et j’étais supposé l’être. À l’âge de 14 ans, j’ai pourtant annoncé à mes parents que je voulais apprendre l’hébreu et être juif. « Juif, tu l’es déjà », m’ont-ils répondu, confirmant mes intuitions. Par la suite, je n’ai jamais très bien su composer avec cette identité, sans pour autant chercher à approfondir le problème.
C’est en retombant sur d’anciennes photographies, récupérées par ma tante à la mort de mes grands-parents, qu’il y a eu chez ma mère une sorte de déclic, un désir de mieux connaître cette période occultée de sa vie.
Ce silence vous a beaucoup pesé ?
Toute ma vie j’ai eu l’impression de vivre dans le secret, d’être en quelque sorte moi-même « caché ». Je n’arrivais pas à être libre. Je me sentais lié par une sorte de pacte imposé. « Chacun ses secrets », avait décidé ma mère. C’était une forme de « dictature »… pour mon bien. Je pense que ma mère a toujours voulu m’épargner ce qu’elle avait vécu dans le but de me protéger. Grâce à mes interrogations insistantes et grâce au voyage en Pologne, les souvenirs sont peu à peu remontés à la surface et la parole a joué son rôle cathartique pour nous deux.
Toute ma vie j’ai eu l’impression de vivre dans le secret, d’être en quelque sorte moi-même « caché ». Je n’arrivais pas à être libre. Je me sentais lié par une sorte de pacte imposé. « Chacun ses secrets », avait décidé ma mère. C’était une forme de « dictature »… pour mon bien. Je pense que ma mère a toujours voulu m’épargner ce qu’elle avait vécu dans le but de me protéger. Grâce à mes interrogations insistantes et grâce au voyage en Pologne, les souvenirs sont peu à peu remontés à la surface et la parole a joué son rôle cathartique pour nous deux.
Pour libérer la parole, vous vous êtes notamment appuyé sur le fameux formulaire de Yad Vashem. Comment cette idée vous est-elle venue ?
J’avais pour seul indice du passé de ma mère le nom du village où elle avait été recueillie. Je voulais savoir si certains de ces habitants avaient déjà été reconnus comme Justes parmi les nations. En consultant le site de Yad Vashem, je suis tombée sur ce formulaire. Il m’a permis de dérouler le fil de façon naturelle et progressive. En toute délicatesse. Les questions du formulaire constituent le fil rouge de mon documentaire.
J’avais pour seul indice du passé de ma mère le nom du village où elle avait été recueillie. Je voulais savoir si certains de ces habitants avaient déjà été reconnus comme Justes parmi les nations. En consultant le site de Yad Vashem, je suis tombée sur ce formulaire. Il m’a permis de dérouler le fil de façon naturelle et progressive. En toute délicatesse. Les questions du formulaire constituent le fil rouge de mon documentaire.
À l’heure qu’il est, nous avons effectué les démarches nécessaires afin de faire reconnaître les bienfaiteurs de ma mère, mais nous n’avons pas encore reçu de réponse. Avec la crise du coronavirus, le traitement des demandes a sans doute pris du retard. Mais le simple fait d’avoir entrepris cette démarche est pour moi un geste fort. Et avoir rencontré une partie de la famille d’accueil, leur avoir exprimé notre gratitude et avoir recréé un lien entre nous, tout cela est déjà très précieux pour moi.
Appréhendiez-vous les retrouvailles en Pologne ?
Nous étions assez méfiants. En Pologne, la question juive est toujours un sujet sensible, les tensions, vives. Nous ne savions pas sur qui nous allions tomber. Mais les membres de la famille retrouvés se sont montrés accueillants et cordiaux au-delà de nos espérances. Les rencontres ont été émouvantes, les albums de photos permettant d’évoquer les souvenirs et d’expliquer le rôle des uns et des autres. Pourtant le mot « juif » n’a pas été prononcé. Encore aujourd’hui, il est difficile pour ma mère de l’évoquer clairement. Il y a toujours une forme du pudeur.
Nous étions assez méfiants. En Pologne, la question juive est toujours un sujet sensible, les tensions, vives. Nous ne savions pas sur qui nous allions tomber. Mais les membres de la famille retrouvés se sont montrés accueillants et cordiaux au-delà de nos espérances. Les rencontres ont été émouvantes, les albums de photos permettant d’évoquer les souvenirs et d’expliquer le rôle des uns et des autres. Pourtant le mot « juif » n’a pas été prononcé. Encore aujourd’hui, il est difficile pour ma mère de l’évoquer clairement. Il y a toujours une forme du pudeur.
Quel regard portez-vous sur ceux qui disent que l’on parle trop de la Shoah ?
C’est un point de vue que je peux comprendre. D’autant plus que nous vivons dans une époque où de nombreuses minorités revendiquent leur passé douloureux. Il devrait y avoir une forme d’égalité dans la façon d’aborder les traumatismes des autres populations. Cela me paraît normal.
C’est un point de vue que je peux comprendre. D’autant plus que nous vivons dans une époque où de nombreuses minorités revendiquent leur passé douloureux. Il devrait y avoir une forme d’égalité dans la façon d’aborder les traumatismes des autres populations. Cela me paraît normal.
Cependant, dans le récit de la Shoah, on doit être capable de percevoir une forme d’universalité. À travers l’assassinat des juifs, c’est l’assassinat de toute l’humanité qui a été à l’œuvre".
"Le Formulaire" de Filip Flatau
France, ZADIG PRODUCTIONS - Val de Loire, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, 2020, 55 minutes
France, ZADIG PRODUCTIONS - Val de Loire, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, 2020, 55 minutes
Sur France 3 les 15 juillet 2020 à 23 h 25 et 21 juillet 2020 à 02 h 40
Visuels :
Joanna Flatau et son fils Filip Flatau
Joanna devant la maison des Jaśkowski à Lubiaszów
© ZADIG PRODUCTIONS
« Joanna Flatau, Tête à tête ». Galerie Idées d’artistes, 2004.
Jusqu'au 31 octobre 2015
Route d’Alzonne
11170 Montolieu
Tél : + 33 (0)4 68 76 12 54
Du mardi au dimanche de 14 h à 19 h
Du 28 septembre 2013 au 28 septembre 2014
Au musée des Beaux-arts de Carcassonne
1, rue de Verdun, 11000 Carcassonne
Tél. : 04 68 77 73 70
Du 15 septembre au 15 juin, du mardi au samedi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h et le premier dimanche du mois de 14 h 30 à 17 h 30. Fermé les dimanches, lundi et jours fériés.
Du 15 juin au 15 septembre, tous les jours de 10 h à 18 h. Fermé les jours fériés.
Vernissage le 27 septembre 2013
Au musée des Beaux-arts de Carcassonne
1, rue de Verdun, 11000 Carcassonne
Tél. : 04 68 77 73 70
Du 15 septembre au 15 juin, du mardi au samedi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h et le premier dimanche du mois de 14 h 30 à 17 h 30. Fermé les dimanches, lundi et jours fériés.
Du 15 juin au 15 septembre, tous les jours de 10 h à 18 h. Fermé les jours fériés.
Vernissage le 27 septembre 2013
Jusqu’au 14 avril 2012
À la Galerie Roi doré
6, rue Sainte Anastase, 75003 Paris
Tél. : + 33 1 42 78 54 42
Du mardi au vendredi de 12 h à 19 h. Samedi de 13 h à 20 h. Dimanche sur rendez-vous
Finissage le samedi 14 avril 2012 de 18 h à 21 h
Finissage le samedi 14 avril 2012 de 18 h à 21 h
Visuels : Copyright Galerie Roi doré
Affiche
« Amy »
Technique mixte sur toile
100 x 80 cm
2012
« Rictus »
Technique mixte sur toile
130 x 97 cm
2012
« Divine »
Technique mixte sur toile
146 x 114 cm
1990
« L'attente »
Technique mixte sur toile
146 x 114 cm
2012
Cet article avait été publié en une version plus concise par Actualité juive. Il a été publié dans ce blog le 3 avril 2012, puis les 25 septembre 2013, 21 septembre 2014, 28 octobre 2015.
[Source : www.veroniquechemla.info]
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